On retrouve les célèbres rapports de Jean-no pour ses sorties falaise. 
Presque 100 sorties dans l'année, c'est un phénomène. 
Il y a 6 rapports en souffrance de publication sur ce site: 
Ils arriveront bientôt .... 
Pour l'heure c'est la dernière que nous publions et dans un premier temps, sans les photos. 
 
Alors en route pour "Un Automne en Bourgogne" 
 
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Que ce soit au Printemps ou à l’Automne, les arrières saisons sont  magnifiques  en  2011 dans notre chère   Bourgogne. Si la brume est matinale , le soleil se montre estival : par beau temps, rien ne remplace une journée en falaise avec des copains, et ce week - end du 12/13 novembre le confirmera encore une fois. Nous traverserons donc, les vignobles  de Pouilly-Fuissé à Puligny –Montrachet, en passant par Solutré et  Nolay, cordes à l’épaule et baudrier à la hanche. 
 
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                           Un Automne en Bourgogne 
 
Que ce soit au Printemps ou à l’Automne, les arrières saisons sont  magnifiques  en  2011 dans notre chère   Bourgogne. Si la brume est matinale , le soleil se montre estival : par beau temps, rien ne remplace une journée en falaise avec des copains, et ce week - end du 12/13 novembre le confirmera encore une fois. Nous traverserons donc, les vignobles  de Pouilly-Fuissé à Puligny –Montrachet, en passant par Solutré et  Nolay, cordes à l’épaule et baudrier à la hanche. 
                         
Samedi à Vergiss’ : 
Les filles ont une petite pensée pour l’amiral, qui se remet d’une opération à l’hôpital, en parcourant son désormais cultissîme 6 b+. 
                                                      
Les rangers locaux installent un rappel pour les photographes : de très beaux clichés sont tirés, notamment du Pat’ , toujours déchainés et enchainant les essais dans le toit des maboules en 7b, avec l’explosivité d’un Benjamin Hennequin ( vice champion du monde 2011 d’haltérophilie dans les moins de 85 kg ). Il profite des conseils de Coach F. , en poste avec  l’objectif , et qui maitrise parfaitement toutes les  singularités  de cette difficulté.                                          
                                                    
Si au Printemps,  Vergisson recevait la visite de Toto Thénot,  cet Automne , nous accueillons un autre jeune grimpeur talentueux en salle , en la personne de Grutman. Ce combattant au physique de feu  Joe Frazier, n’a pas encore le jeu de pieds  sur, mais subtil, des funambules de l’urgonien. Dans le 7a de la récolte des gens qui s’aiment, Grutman va se retrouver dans l’œil du tigre : vidé par un premier round d’anthologie , il jette l’éponge dans le second…..se jurant d’accentuer ses exercices à la barre et ses entre deux sur le dance floor. 
L’intronisation de Grutman chez les frères de la falaise s’effectue chez la Jo, avec du raisin rosé fermenté et pétillant, qui se révèle excellent, en début de  soirée. 
 
Dimanche : de Cormot à Baderne 
Malgré la brioche et les croissants le brouillard est tenace jusqu’à midi : ça tombe bien, c’est l’heure où nous arrivons à Cormot. 
Dans les secteur des Kim, nous retrouvons Jane, une plantureuse et joviale grimpeuse savoyarde. 
Nous retrouvons aussi, une grimpe fondamentale, un peu engagée avec des cotations sévères : il suffit de le savoir, et de s’adapter  aux regroupés,  aux amples montées de pieds et pour finir aux sorties fontainebleauesques….ceci étant compris et assimilé, on peut commencer à prendre son pied dans ça saute aux yeux, un  «  petit » 6a+ de 35 mètres 
                                           
Nous  nous dirigeons vers Baderne, et là , en découvrant le bout du monde, j’ai le même choc esthétique , qu’en écoutant pour la première fois Adèle et ses balades : quelles lignes mélodiques! Sauf que pour jouer les Mickeys avec ces belles , rien n’est en dessous du 7a……..et nous attaquons  par le  7b+ de Bérébi, où bien entendu , Pat’ passe et  le cancre prend une rouste……à trois, les heures  passent vite, et à cette époque, le soleil  s’arrache rapidos.  
                               
Il va donc y avoir des cris de la sueur et des larmes aux entrainements car le cancre , un peu inconscient, a décidé de se rapprocher des premiers de la classe de Baderne ( affaire à suivre  ).  
Texte : Jean No       Photo : François et Jean No 
 
 
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